
« La Chanson de Poligny », plus connue sous le nom d’« À Dieu playse Poligny », son refrain, également la devise de la ville, a été composée dans les années 1860.

Un oratoire contenant une Mater Dolorosa se dresse à l’entrée de Poligny. Il a été édifié en 1771 et réédifié en 1847.

Médecin installé à Poligny, puis à Alger, le docteur Émile Bertherand (1821-1890) est l'un des fondateurs de la Société d'agriculture, sciences et arts de Poligny. On lui doit une grande partie de la collection ethnologique du musée.

Professeur d’histoire, Gaston Bordet (1933-2024) a occupé pendant dix-huit années la présidence de l’Association de sauvegarde du patrimoine polinois.

Depuis 2012, une plaque apposée sur la façade du lycée Friant, place des Déportés, à l’initiative de l’Association du patrimoine, commémore les 83 déportés de Poligny et de ses environs.

Poligny connut, au lendemain du coup d’État du 2 décembre 1851, une véritable journée d'insurrection : érection de barricades, emprisonnement de notables, marche sur Lons-le-Saunier.

Natif de Vadans, près d’Arbois, Claude Dejoux (1732-1816) est un sculpteur d’inspiration baroque, puis néo-classique. Il a reçu de nombreuses commandes officielles, tant sous l’Ancien Régime que sous la Révolution et l’Empire.

De 1876 à 1883, le village de Miéry a pour curé l’abbé Domenech (1825-1903). Un curé journaliste et écrivain, à l’humour caustique, qui a fréquenté le Far West et les cours impériales.

Alphonse Ligier (1851-1905) est un médecin et homme politique polinois, qui exerça notamment les fonctions de maire de Poligny de 1892 à 1893.